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Du rêve à la réalité en un seul clic

Questions fréquentes

Positionnement par rapport aux autres outils

Quels types de logiciels peuvent être développés ?

Business Siprit permet de développer tout logiciel de gestion quel que soit le domaine fonctionnel abordé. A contrario, il ne permet pas par exemple de développer des systèmes de conduite de procédé ou des logiciels de calcul scientifique. 

Quel est la différence entre Business Spirit et un ERP ?

Comme un ERP, Business Spirit permet d'obtenir un système informatique qui couvre un secteur fonctionnel sans avoir à développer soi même les fonctionnalités attendues. La ressemblance s'arrête là.

Un ERP utilise une technologie propriétaire et propose un ensemble de pratiques prédéfinies (dites best-practices) qu'il faut étudier pour choisir celles que l'on va retenir puis paramétrer pour les adapter aux spécificités de l'entreprise. Les fonctions non utilisées sont masquées mais toujours présentent à l'exécution. L'ajout de fonctionnalités autres que celles proposées est coûteux et amène souvent à modifier les processus de l'entreprise car les capacités d'adaptation d'un ERP sont limitées. Au-delà de la limite, contrairement aux attentes initiales, c'est l'entreprise qui doit s'adapter à l'ERP.   

Avec Business Spirit, pour un effort inférieur à celui de l'étude et du paramétrage d'un ERP, l'utilisateur obtient, dans une technologie qu'il choisit, une application qui comprend uniquement et exactement les fonctionnalités qu'il attend dans n'importe quel domaine fonctionnel.

Business Spirit est-il un outil de développement ?

Oui, dans le sens ou il s'agit d'un outil qui permet de développer des logiciels.

Non, dans le sens ou ce n'est pas un outil qui est utilisé par des développeurs pour développer une application. Des développeurs et experts techniques y déposent des normes et un savoir faire. C'est ce savoir faire qui est exploité par d'autres de façon transparente au travers de Business Spirit.

Qu'est ce qui différencie Business Spirit d'autres générateurs ?

Tous les générateurs existants nécessitent en entrée une description à caractère technique de la structure et du fonctionnement du logiciel à produire. Ces informations sont issues de phases préalables d'analyse et de conception conduites par des spécialistes. Les générateurs actuels ne sont donc que des accélérateurs de la phase aval de réalisation (codage).

Business Spirit nécessite uniquement une description du domaine fonctionnel à couvrir tandis-que les phases d'analyse et de conception sont automatisées. Ce n'est plus uniquement la phase de réalisation qui est accélérée mais l'ensemble du cycle d'un projet. Ceci ouvre de nouvelles portes sur la façon d'appréhender et de mener les projets.

De plus, les générateurs classiques s'appuyant sur une description du comment technique, les données à fournir en entrée s'adressent à une cible ou un type de cible technique particulière. Ces données d'entrées ne sont donc pas réutilisables en l'état pour migrer vers une autre cible technologique.

Business Spirit quant à lui sépare complètement les aspects techniques des aspects fonctionnels. Tout est donc réutilisable à 100% sans effort supplémentaire. Par exemple une même spécification fonctionnelle peut être réutilisée pour générer un autre logiciel dans une technologie radicalement différente. De même le savoir-faire technique déposé dans le référentiel de Business Spirit peut être réutilisé pour la construction d'un logiciel à partir de spécifications fonctionnelles différentes.

Puis-je continuer à utiliser mes outils de développement actuels ?

Oui, et c'est même nécessaire. Business Spirit effectue automatiquement les phases de conception et de codage mais ne se substitue pas aux outils correspondants. Par contre la nécessité d'utiliser ce type d'outils devient plus restreinte et restera réservé par exemple à :

  • -la mise au point des modèles de génération lors de l'introduction du savoir-faire technique dans Business Spirit.
  • l'écriture de parties spécifiques non générés par Business Spirit (connexion à de l'existant, création d'outils graphiques particuliers, création d'interfaces particulières, création de composants qui seront utilisés en l'état par Business Spirit).
  • L'audit du résultat obtenu.

Comment intégrer mon SI existant ?

L'intégration d'un système existant s'opère à 2 niveaux :

  • Lors de la phase de spécifications, il suffit d'ajouter des modèles techniques décrivant la structure de l'existant afin que Business Spirit intègre les contraintes inhérentes à l'existant.
  • Après la génération, dans la structure générée par Business Spirit, il suffit de coder manuellement les appels à l'existant. Dans le cas ou l'existant est une base de donnée et suivant la technologie cible, cette dernière phase peut ne pas être nécessaire.

Généralités

A qui s'adresse Business Spirit ?

et outil s'adresse à tous ceux qui ont besoin, développent ou étudient des solutions de gestion pour un ou plusieurs secteurs fonctionnels. Il s'agit typiquement :

  • Des sociétés de conseil: Ce nouveau type d'outil leur permet d'aller au delà des études théoriques qu'elles ont l'habitude de mener sans nécessiter de compétences nouvelles. Les sociétés de conseil apprécient tout particulièrement la possibilité d'obtenir instantanément un prototype testable à partir de l'expression du besoin.
  • Les SSII: Cet outil leur permet de répondre à des appels d'offre au forfait en proposant à leur client des prix et des délais défiant toute concurrence tout en se préservant des marges plus conséquentes qu'a l'accoutumée.
  • Les éditeurs de progiciel: Cet outil leur permet de construire à moindre coût des solutions facilement adaptables aux spécificités d'un client sans avoir à prévoir tous les cas d'usage dès le départ.     
  • Le client final qui y trouve tout d'abord une alternative à l'ERP et qui surtout acquiert enfin la maîtrise de l'équation infernale coût/qualité/délais.

Quel est la taille maximale des applications produites ?

Il n'y aucune taille ni complexité maximale. Business Spirit peut être utilisé pour construire de très petites applications ou pour construire l'ensemble du système d'information d'une grande entreprise.

L'application la plus importante réalisée avec Business Spirit à ce jour avait été estimée à 120 années homme pour une réalisation manuelle et avait déjà subit 2 échecs consécutifs auparavant avec des moyens traditionnels.

Comment intégrer mon SI existant ?

L'intégration d'un système existant s'opère à 2 niveaux :

  • Lors de la phase de spécifications, il suffit d'ajouter des modèles techniques décrivant la structure de l'existant afin que Business Spirit intègre les contraintes inhérentes à l'existant.
  • Après la génération, dans la structure générée par Business Spirit, il suffit de coder manuellement les appels à l'existant. Dans le cas ou l'existant est une base de donnée et suivant la technologie cible, cette dernière phase peut ne pas être nécessaire.

Business Spirit peut il être utilisé pour créer des progiciels ?

 Oui, tout à fait. Le progiciel créé aura d'ailleurs des avantages concurrentiels auxquels aucun de ses concurrents ne pourra prétendre :

  • Il sera délivrable dans n'importe quel technologie.
  • Il pourra intégrer toutes les spécificités du métier du client final.
  • Pour chaque client, il ne comportera que les fonctionnalités dont ce dernier à besoin.

Domaines fonctionnels

L'outil s'adresse t'il à des métiers particuliers ?

Non, n'importe quel domaine fonctionnel peut être traité.

Existe t'il des modèles prédéfinis pour certains métiers ?

Non pas pour l'instant. Nous disposons d'une quantité importante de spécifications issues de métiers divers. Sur cette base, nous envisageons à terme d'intégrer une bibliothèque de processus prédéfinis dans l'outil afin de ne plus partir d'une page blanche à chaque nouveau projet et d'accélérer encore la phase d'établissement des spécifications fonctionnelles.

Conduite de projet

Quelle est la configuration type d'une équipe de projet ?

Une équipe est normalement constituée :

  • D'experts fonctionnels ou/et de consultants ou/et d'utilisateurs qui définissent les spécifications fonctionnelles à l'aide de Business Spirit.
  • D'un concepteur qui audite les modèles de conception générés et les optimise ou les complètes (optionnel)
  • D'experts techniques s'il est nécessaire d'adresser une nouvelle cible technique (optionnel)
  • De quelques développeurs connaissant la technologie ciblée s'il est nécessaire d'effectuer des interfaces avec un système existant ou de développer des composants graphiques particuliers au métier.

Qui peut utiliser l'outil ?

Business Spirit est tellement simple que n'importe qui peut l'utiliser. Beaucoup d'outils présentent une facilité apparente lors d'une première prise en main et se révèlent complexes à l'usage en situation réelle. Ce n'est pas le cas ici, l'effort à produire dans l'usage de l'outil reste constant quelle que soit la complexité du problème à traiter. Dans toutes les situations, sa simplicité reste déconcertante au regard des plus chevronnés.

Certains de nos clients ont par exemple profité des opportunités offertes par l'outil pour ré-orienter la carrière de collaborateurs issus du métier de leur entreprise vers le système d'information.

Seule l'accès à la définition de nouvelles cibles techniques est réservée à des experts techniques (développeurs, architectes).

Combien de temps faut-il pour se former ?

Une journée suffit pour comprendre et savoir utiliser l'intégralité des fonctionnalités de l'outil. Au bout de 3 jours d'utilisation une personne est totalement opérationnelle.

Combien d'utilisateurs peuvent travailler simultanément avec Business Spirit ?

Une équipe comportant plusieurs dizaines de personnes peut travailler confortablement. La seule restriction est qu'un même diagramme ne peut pas être modifié en même temps par 2 personnes.

Les approches RAD ou méthodes agiles sont elles supportées ?

 Oui, c'est dans cet esprit qu'a été créé Business Spirit. Le but est d'aboutir à un résultat concret le plus rapidement possible afin de détecter les problèmes au plus vite et de converger vers la solution optimale à un moindre coût par itérations.

Il est possible d'obtenir un résultat à tout moment, même si les spécifications fonctionnelles ne sont que partielles (que ce soit en degré de raffinement ou en étendue).

Les aspects techniques et fonctionnels sont totalement découplés et peuvent êtres traités séparément. Dans tous les cas un résultat concret et testable est disponible immédiatement.

La différence majeure est que plutôt que d'itérer avec un cycle spécifications->étude->codage->test, avec Business Spirit le cycle devient : spécifications->test. Ce qui est non seulement beaucoup plus rapide mais surtout accessible à n'importe qui. Ainsi, le problème habituel de ce type d'approches qui est que le succès du projet repose sur la qualité des personnes qui les mettent en oeuvre disparaît totalement avec Business Spirit.  

D'une manière générale, les bonnes pratiques des approches RAD ou agiles peuvent non seulement être conservées mais sont présentes naturellement et deviennent incontournables. Les méthodes telles que eXtreme Programming, SCRUM, Crystal, DSDM ou Adaptive Software Développement sont supportés et se trouvent démultipliées. 

Les approches en cascade sont elles supportées ?

Oui, l'approche qui consiste à tout spécifier de façon formelle dans une phase et d'en vérifier la cohérence avant de lancer la phase suivante est totalement respectée (démarche dite en cascade ou en escalier). C'est ce que fait Business Spirit de façon automatique.

La grande différence vient seulement de la suppression du fameux effet tunnel de ce type d'approche. En effet, toutes les phases se déroulent en cascade, de façon automatique, à partir de la phase des spécifications et aboutissent à la production instantanée du logiciel correspondant.

Aussi en utilisant Business Spirit, non seulement vous conserverez vos repères, vos habitudes et les effets positifs d'une telle approche mais vous bénéficierez également sans vous en rendre compte de tous les avantages des approches de type RAD ou agiles sans pour autant en supporter les risques.

Existe t'il une gestion de configuration ?

Oui, l'environnement de Business Spirit comprend un système complet gestion de configuration (gestion de versions, de développements parallèles, de droits, etc.). Les utilisateurs peuvent gérer en configuration les diagrammes qu'ils créent (diagrammes de spécifications et diagrammes techniques). Les diagrammes générés par Business Spirit sont quant à eux systématiquement gérés en configuration par la création d'une nouvelle version lors de chaque génération.

Les codes sources générés ne sont pas gérés en configuration nativement par l'outil mais peuvent être gérés séparément par n'importe quel outil de gestion de configuration.

Quelle documentation est produite ?

Business Spirit génère les diagrammes représentant les résultats du travail qu'il a effectué (diagrammes logiques de classes résultant de la phase d'analyse et diagrammes d'implémentation pour la technologie cible). D'autres diagrammes peuvent être générés si nécessaire.

Il est aussi possible d'exporter le contenu du dictionnaire sémantique vers une base de données relationnelle afin de constituer n'importe quel type de rapport et de documentation textuelle à partir d'autres outils du marché.

Conception

Est t'il nécessaire de connaître UML ?

Non, la connaissance d'UML n'est pas nécessaire pour aborder Business Spirit. L'outil se veut simple. Il n'utilise qu'un sous-ensemble choisi et volontairement très restreint d'UML qui ne nécessite aucune formation préalable pour être abordé.

Dans ses versions suivantes l'outil proposera également des formalismes alternatifs à UML.

Où sont les use cases ?

Les spécialistes du formalisme UML rechercheront certainement les uses cases qui sont usuellement le point de départ d'une étude conduite avec le formalisme UML. L'expérience pratique nous a démontré que, sans formation préalable, les uses cases étaient assez mal perçus par les utilisateurs. Aussi nous leur avons préféré les diagrammes d'activité qui utilisés comme outil de description de processus sont parfaitement compris par tous. Ces derniers permettent d'ailleurs d'utiliser le même formalisme de bout en bout aussi bien pour identifier le périmètre à couvrir et les fonctions à informatiser (rôle des uses cases) que pour décrire le fonctionnement escompté (rôle des scénarios). Le parallèle avec les uses cases peut être facilement établi car la description des séquences d'actions correspond exactement sous forme graphique et non textuelle à celle des scénarios usuellement associés aux uses cases.

Les uses cases pourraient êtres générés par Business Spirit si nécessaire car même si les diagrammes ne sont pas utilisés, toute l'information correspondante est collectée. Nous n'envisageons pas pour l'instant d'en faire un point d'entrée.

Peut on importer des modèles existants ?

Oui, des diagrammes de classes peuvent être importés à l'aide du standard d'échange XMI. Ils peuvent ensuite être exploités par Business Spirit. Les autres types de diagrammes peuvent également être importés à des fins de documentation de projet mais ne sont pas exploités par Business Spirit.

Peut ont réutiliser des composants existants ?

Avec Business Spirit, il faut distinguer deux types de composants :

  • Les composants techniques offrent des services génériques indépendants du métier (composants graphiques,  services d'annuaires, services de gestion de la sécurité, logs, services transactionnels, services de persistance, etc.)
  • Les composants métier offrent des services spécifiques à une activité donnée (la facture, le produit, la commande, passer une commande, facturer un client, etc.)

Composants techniques

Pour ce qui est des composants techniques leur réutilisation se fait naturellement au travers des templates de génération qui décrivent la façon de générer pour une technologie donnée. La durée de vie de tels composants étant liée à celle de la technologie qu'il desservent, ils trouvent ici tout naturellement leur place.  

Composants métier

Des composants métier existants peuvent être intégrés manuellement lorsqu'il s'agit d'intégrer une fonctionnalité existante du SI sans la remettre en cause.

Par contre Business Spirit n'est pas un outil de construction par composants métier réutilisables. Bien au contraire, avec Business Spirit, on considère que les composants métier sont jetables (car en dehors de quelques grand invariants, les pratiques métier ne sont pas prédictibles) et ont une durée de vie limitées dans le temps (car ils sont construits dans la technologie d'aujourd'hui qui sera obsolète demain). Ainsi plutôt que de perdre un temps précieux à concevoir des composants paramétrables qui disent papa et maman en se posant la question de savoir si demain ils sauront dire tonton, Business Spirit génère les composants dont on a besoin aujourd'hui. Demain, la simple modification des spécifications fonctionnelles entraînera la génération spontanée du composant dont on aura besoin à ce moment.

Avec Business Spirit la réutilisation au niveau métier s'exerce directement au niveau des spécifications fonctionnelles. Cette approche est beaucoup plus puissante et économique que la réutilisation de composants préfabriqués. Elle permet d'évoluer sans jamais être freiné par un passé technologique. Un même composant métier peut d'ailleurs être généré simultanément avec des interfaces techniques différentes (SOAPCICS et  EJB par exemple) afin d'assurer une continuité de fonctionnement vis à vis d'applications tierces qui s'appuient sur ses services.

Peut on intervenir sur les modèles de classes ?

Oui, Business Spirit ne conçoit automatiquement les modèles de classes que s'ils ne sont pas fournis par l'utilisateur. Il est donc possible d'imposer tout ou partie des modèles. Dans le cas ou seulement des modèles partiels sont fournis, alors Business Spirit se contentera de les compléter sans chercher à les remettre en cause. Imposer un modèle de classes se révèle d'ailleurs particulièrement utile dans les cas suivants :

  • Lorsque qu'il est nécessaire d'intégrer des fonctions existantes du SI.
  • Lorsque que l'on souhaite faire apparaître des concepts qui n'apparaissent pas au travers des processus.


Par contre si les modèles imposés ne sont pas compatibles avec le processus métier décrit, alors lors de la génération, Business Spirit signale cette incohérence. Dans ce cas, c'est à vous de choisir de modifier le processus ou bien les modèles.

Peut on intervenir sur la façon dont l'outil conduit la conception ?

Oui, et ce à deux niveaux différents.

Lors de la définition d'une cible technique, toutes les couches de l'architecture logicielle cible sont identifiées et les règles de transformation d'une couche à une autre peuvent être choisies.

A l'utilisation, des directives de passage du modèle théorique au modèle d'implémentation peuvent être paramétrées globalement au niveau du projet. Ensuite, il est possible de préciser une directive spécifique au niveau de chaque relation du modèle.

Peut on utiliser des patterns ?

Oui, il est possible d'utiliser et d'ajouter des patterns de conception. Dans Business Spirit les patterns sont posés graphiquement dans les modèles et sont ré-évalués lors de chaque génération. Tandis-que dans d'autres outils les patterns ne sont proposés que comme des assistants que l'on ne joue qu'une seule fois, dans Business Spirit les patterns font partie de la conception.

Les patterns sont définis sous forme de scripts qui agissent directement sur le méta-modèle du dictionnaire lors de la génération. Ceci permet de mettre en place des patterns ré-actifs à leur contexte qui deviennent de véritables fonctions de conception dans lesquelles ont peut capitaliser un savoir faire et non plus de simples portions de modèles statiques.

Comment se positionne Business Spirit par rapport à MDA ?

Bien qu'ayant été conçu bien avant que le terme d'architecture MDA (Model Driven Architecture) n'existe, Business Spirit entre totalement dans cette logique. La seule grande différence est que Business Spirit va encore un cran au-dessus de ce qui est aujourd'hui mis en place par l'OMG (Object Management Group). Telle que l'architecture MDA est introduite elle ne traite à ce jour que la partie basse du problème adressé par Business Spirit (la partie technique sans la partie métier et la transition entre les deux visions).

Business Spirit peut être vu comme une architecture MDA de 2ème génération alimentée directement par les spécifications fonctionnelles. Les outils MDA existants aujourd'hui (encore bien souvent embryonnaires) sont pour Business Spirit des cibles de génération potentielles et non des solutions concurrentes

Code généré

Quel est le pourcentage de code généré ?

En l'absence de la nécessité de se connecter à de l'existant ou de nécessiter la mise en place d'outils très particuliers sortant du cadre de la gestion de données (outils purement graphiques, connexion à un système d'identification par carte, etc.) alors dans ce cas Business Spirit génère 100% du code.

L'expérience pratique sur les projets traités avec Business Spirit montre que le pourcentage de code généré de façon automatique est toujours resté au-dessus de 99%.

En quel langage le code est il généré ?

Business Spirit permet de générer du code dans n'importe quel langage.

Quelles normes sont appliquées ?

Les vôtres, celles que vous souhaitez à partir du moment ou elles ont été paramétrées dans l'outil.

Est-il possible de générer en plusieurs langages ?

Oui et ce dans différents cas de figure. Il est possible de :

  • ré-générer une application existante dans un langage différent.
  • générer des systèmes dont les différentes couches de l'architecture reposent sur des langages différents.
  • générer simultanément plusieurs interfaces dans des langages différents pour un même composant.

Peut on utiliser des classes existantes ?

Oui, le paramétrage d'une cible technique peut être effectué en s'appuyant sur des classes existantes. C'est à dire que vous pouvez continuer à utiliser vos propres frameworks pour constituer des applications avec Business Spirit.

Quelle est l'architecture des applications produites ?

Celle que vous souhaitez après paramétrage de l'outil.

Comment sont implémentées les règles métier ?

De façon tout à fait traditionnelle. Business Spirit génère du code classique sans avoir recours à aucun moteur de règle lors de l'exécution.

Quelles cibles techniques sont disponibles ?

Pour l'instant seule la cible Versata est disponible en standard (Java / EJB ou Corba / toute base de données). D'autres plus répandues devraient être disponibles prochainement.

Il est possible de définir une cible technique particulière à la demande pour un projet donné.

Peut on modifier le code généré ?

Oui et sans perturber la démarche itérative.

Du code peut être ajouté n'importe où. Il sera maintenu par Business Spirit tout le temps que le composant sur lequel il à été ajouté a une raison d'exister.

Du code généré peut être modifié dans la mesure ou le paramétrage de la cible technique l'autorise. En effet, lors du paramétrage il est possible de préciser qu'une chose à un caractère obligatoire ou bien doit seulement être proposée à défaut. Si quel quelque chose qui à été qualifié d'obligatoire est modifié manuellement alors il est écrasé lors de la génération suivante. Dans le cas contraire, la version imposée manuellement sera maintenue par Business Spirit.

En pratique, on paramétrera avec un caractère obligatoire tout ce qui relève d'un standard que l'on veut voir respecté sans dérogation (couleurs, polices pour la couche ergonomique par exemple) . Tandis-que l'on donnera un caractère de solution par défaut aux aspects sur lesquels on souhaite pouvoir intervenir (dispositions des composants sur un écran par exemple).

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